Des chercheurs des équipes ECOTROP et FUNEVOL de l’Unité « Mécanismes adaptatifs et évolution » (Muséum national d’Histoire naturelle - CNRS) associés à des chercheurs internationaux ont réalisé pour la première fois une estimation de la taille des graines et des fruits que les espèces de mammifères disparues étaient capables d'ingérer et potentiellement de disperser. Aussi la comparaison de la taille des graines ingérées, des dimensions du crâne et de la masse corporelle des mammifères frugivores actuels est une base solide pour prédire les conséquences de l'extinction de ces mêmes animaux dans les forêts tropicales. L’étude vient de paraître dans la revue Functional Ecology.

Pour en savoir plus :